
© Elsa Tessier

© Elsa Tessier
À l’occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale, j’ai transformé un pot de confiture Bonne Maman en relique du conflit.
L’extérieur reste familier — étiquette, code-barres, typographie — mais à l’intérieur, un œil humain et des doigts baignent dans un liquide rouge sang.
L’extérieur reste familier — étiquette, code-barres, typographie — mais à l’intérieur, un œil humain et des doigts baignent dans un liquide rouge sang.
Un détournement brutal de l’ordinaire, qui interroge la mémoire, la consommation, et la violence devenue invisible.